vendredi 29 septembre 2017

Il y a longtemps que je n'ai pas pris le temps...

Ouf ! Deux ans depuis mon dernier article ! Il en a coulé de l'eau sous les ponts depuis ! Commençons par le début !

Depuis 2014, j'ai suivi plusieurs formations pédagogiques (conférences, formations, congrès, journées thématiques etc.) et lu quelques livres pédagogiques qui m'ont fait beaucoup réfléchir sur mes pratiques professionnelles. Chaque formation m'a amenée à remettre en question mes pratiques et à les modifier lorsque c'était nécessaire. Les discussions avec ma collègue m'ont aussi fait avancer. Tout ce travail ne s'est pas fait en un jour, et il a demandé un investissement de temps. Par contre, je sais qu'aujourd'hui mon enseignement ressemble davantage à ce que je veux qu'il soit : centré sur l'élève. Voici quelques constats qui sont ressortis de ce cheminement.

Constats #1 : Mon enseignement doit se baser sur les résultats de la recherche et non sur les modes.

En effet, il y a beaucoup de recherches qui sont faites en éducation, mais peu d'enseignants y ont accès ou prennent le temps s'informer sur le sujet. Par contre, ces recherches doivent être à la base de notre enseignement, car elles nous enseignent comment aider les élèves à apprendre. Nous ne pouvons continuer d'enseigner et ignorer ces informations. Récemment, j'ai eu la chance de voir Steve Masson (http://www.labneuroeducation.org/) parler de l'apprentissage et du cerveau, ainsi que des neuromythes, Steve Bissonnette parler de la recherche en éducation et de l'importance du rôle de l'enseignant dans l'apprentissage (j’assisterai bientôt à une 2e conférence cette fois sur les problèmes de comportements), Martine Arpin (https://atelierecritureprimaire.com) sur les ateliers d'écriture au primaire et plusieurs autres conseillers pédagogiques sur différents sujets (approche RAI en lecture et en écriture, importance de la manipulation en mathématiques, etc.) 

Constat #2 : Je donnais encore trop de devoirs

Moi qui croit que la recherche a raison et que les devoirs ne sont pas déterminants au niveau de la réussite scolaire, j'en donnais encore trop. Cette année, ma collègue et moi avons décidé de réduire au minimum (en vue de les préparer au secondaire, nous avons quand même conservé certaines tâches) les devoirs et leçons. Nous croyons que la lecture est essentielle alors chaque soir, nous demandons aux élèves de lire 30 minutes. Une fois par semaine, ils ont un devoir spécial : aller jouer dehors, expliquer le système de gestion de classe, faire une recette avec un membre de la famille, lire avec leurs parents, etc. 

Constat #3 : La rétroaction à l'élève est essentielle

Ici, je ne parle pas de la note placée au haut d'un examen suite à sa correction. Je parle de la rétroaction constructive en cours d'apprentissage et lors des évaluations. L'élève doit pouvoir, autant que l'enseignant, savoir où il se trouve dans ses apprentissages. Il doit connaître ses forces et ses faiblesses. Le défi est de taille pour l'enseignant : il faut trouver le temps de le faire. Je crois que cette rétroaction doit être prévue afin de se faciliter la tâche (par exemple, prévoir des petites feuilles avec des cases à cocher à agrafer sur un travail ou une évaluation ou faire des entretiens individuels pendant des périodes de travail autonome). C'est mon défi cette année.

Je dois m'arrêter ici pour aujourd'hui. J'espère pouvoir continuer de partager mes réflexions de manière plus régulière avec vous !

samedi 3 octobre 2015

Réflexion sur les devoirs et leçons

J'avais très hâte d'avoir du temps pour m'exprimer sur les devoirs et leçons puisque ce sujet m'a beaucoup fait réfléchir depuis les dernières années. En effet, comme j'enseigne dans un milieu particulier, je devais m'attarder à ce sujet inévitablement. J'enseigne en 6e année en milieu défavorisé et multiethnique. C'est un milieu où les élèves sont souvent en grande difficulté au niveau des apprentissages, où les parents n'ont pas toujours les capacités (temps car ils ont souvent plusieurs enfants et plusieurs emplois pour arriver, langue etc.) pour aider leur enfant dans leur cheminement scolaire et où les parents s'attendent à ce que leur enfant puisse faire 2h de devoirs par soir malgré tout (car dans leurs pays, c'est comme ça que ça se passe). Comme enseignante, je dois cheminer à travers toutes ces contraintes et attentes de la part des parents. Je dois surtout me préoccuper de la réussite de mes élèves et de leur motivation.

 Avec ce que les recherches nous enseignent, il est évident que l'effet des devoirs sur le rendement scolaire au primaire n'est pas toujours marquant. Il faut donc se questionner. C'est ce que j'ai fait avec l'aide de ma jeune collègue. Nous avions remarqué que nous passions énormément de temps d'enseignement à faire écrire les devoirs dans l'agenda (souvent une heure par semaine, en 6e année !!!), les vérifier, les corriger, à nous fâcher car les élèves ne les faisaient pas etc. De plus, les notes n'étaient pas au rendez-vous et l'étude n'était pas faite. Nous avons donc décidé, dans notre souci d'améliorer l'autonomie de nos élèves (souvent très peu autonomes quand ils arrivent dans nos classe en début d'année) en vu de leur passage au secondaire, de fonctionner avec un tableau de programmation (TP) et des leçons.

En résumé, les élèves reçoivent, le lundi en ligne sur le site de la classe, le travail à faire pour la semaine en classe et l'étude. Le nombre de périodes allouées pour réaliser le TP en classe est variable en fonction du nombre de journées dans la semaine et en fonction des évaluations. Le TP doit être remis le lundi suivant. Si l'élève perd son temps en classe lors des périodes TP, il doit terminer le tout à la maison. De plus, ce TP est souvent différencié en fonction du niveau de compréhension des élèves dans une matière (surtout en maths où on évalue leurs niveaux de compréhension à l'aide d'autoévaluation (vert jaune rouge) et d'un formatif en cours d'apprentissage). Normalement, l'élève a le temps de tout terminer en classe sauf exceptions. Les périodes de TP me servent à faire des groupes de besoin pour les élèves en difficulté. Je favorise beaucoup l'autocorrection durant ces périodes. Pour l'étude, les élèves doivent écouter une vidéo en maths par semaine (5 minutes) style classe inversée, faire des exercices dans Netmaths et laisser des traces de leur étude dans un cahier traces d'étude. Ces traces peuvent aussi être réalisées lors des routines en classe (le matin en arrivant par exemple). Le but : que l'étude soit faite, que ce soit à l'école ou à la maison. Les traces varient selon les besoins de l'enfant (plus de traces dans les matières plus difficiles pour lui, copie pour certains, schéma conceptuels pour d'autres etc.) Nous avons aussi beaucoup modélisé avec eux les différentes manières d'étudier et nous leur avons fourni un document explicatif pour les soutenir. J'ai oublié de dire que nous prenons le temps, tous les lundis, de planifier leur étude avec eux dans leur agenda (nous avons conçu notre propre agenda en conséquence). Nous donnons aux élèves les dates d'évaluation approximatives en début d'étape, mais chaque semaine nous regardons avec eux quel jour ils devraient étudier quelle matière afin de les préparer à gérer leur temps au secondaire.

 Il y a encore place à l'amélioration dans notre système, mais c'est là où nous sommes rendues dans notre réflexion !

jeudi 24 septembre 2015

Il était temps ou mieux vaut tard que jamais !

Bonjour !

Et oui, il y avait longtemps que je n'avais pas eu/pris le temps d'écrire sur mon blogue. Par contre, ce n'est pas par manque d'idées, mais surtout parce que j'ai trop de projets pédagogiques en cours alors peu de temps à consacrer au partage de ceux-ci. Voici, en résumé, les changements apportés à ma classe et à ma pédagogie cette année.

1) Débarrassons-nous des cahiers !
Il ne me restait qu'un seul cahier d'exercices en français et j'ai choisi de m'en débarrasser au profit de cahiers thématiques maison. J'ai travaillé très fort avec ma collègue cet été pour produire un cahier par mois qui regroupe toutes les matières, à l'exception des maths. Chaque mois, l'élève doit faire des apprentissages dans ces matières afin de réaliser un projet intégrateur. Nous fonctionnons ainsi afin de laisser davantage de place à l'intégration des technologies, à l'ajout de projets intéressants non-prévus (Animehistoire#2, Écouter lire le monde, etc.) et pour favoriser l'intégration de vocabulaire chez nos élèves allophones.

2) Améliorer l'organisation physique de la classe.
Je ne suis pas une grande décoratrice. Par contre, avec quelques idées ici et là, je crois que j'ai réussi à améliorer ma classe et la rendre plus jolie et efficace. Voici quelques photos :







3) Améliorer notre cahier maison de maths
Nous avons aussi travaillé fort afin de graduer notre cahier de maths et de retirer tous les exercices superflus. Comme nous utilisons le principe de la classe inversée ainsi que l'introduction de concepts par manipulation, nous avons adapté notre cahier en conséquence. Les élèves doivent aussi autoévaluer leur compréhension à l'aide d'un code de couleur ou des niveaux de compréhension. Ceci nous aide à créer des groupes de besoin ou à cibler des élèves pour la récupération.

4) Faire rayonner les travaux de nos élèves
Notre but cette année est de publier davantage les travaux de nos élèves afin de les motiver davantage. Cette publication sera faite autant sur les réseaux sociaux que sur les murs de l'école.

5) Améliorer notre système de gestion de classe Star wars
L'an dernier, nous avons bâti un système de gestion de classe inspiré de Star wars. Cette année, nous y avons ajouté l'aspect des responsabilités des élèves dans la classe afin de leur remettre un certain pouvoir entre les mains. Je rédigerai un billet plus complet sur notre système.

Voilà ! C'est tout pour l'instant !
À bientôt j'espère !

lundi 24 novembre 2014

Feuille de suivi en maths : un outil pour la classe inversée

Depuis mes débuts l'an dernier avec la classe inversée. je cherche des moyens pour améliorer cette façon de faire. Plusieurs élèves ne visionnent pas la vidéo à la maison. C'est en lisant les réflexions de ma principale inspiration en matière de classe inversée, Annick Arsenault-Carter, que j'ai voulu faire comme elle avec mes élèves afin de les rendre plus autonomes en utilisant une liste de vérification (voir le blogue de Mme Arsenault-Carter ici). Cette feuille, remise aux élèves au début de chaque notion en maths et maintenant au début de chaque nouvelle thématique en français, permet à l'élève de progresser à son rythme et d'auto-évaluer sa compréhension de ses apprentissages. 

Ma collègue et moi avons adapté cette liste à notre enseignement. Elle n'est pas encore parfaite car j'aimerais pouvoir trouver des activités de nature différente à cette liste pour rendre les élèves plus actifs dans leurs apprentissages. De plus, il faut savoir qu'avant de débuter une nouvelle notion (en mathématiques), nous faisons faire aux élèves des activités de manipulation et de découverte de la notion. Pour trouver ces différentes activités, nous utilisons le manuel Clicmaths ainsi que le livre de John Van de Walle "L'enseignement des mathématiques", tome 3. En français, avant de donner la feuille aux élèves (N.B. je n'ai pas commencé la classe inversée en français encore, mais je vais le faire sous peu : un pas à la fois !) nous enseignons aux élèves des nouveaux mots de vocabulaire sur le thème et  nous leur présentons des livres en lien avec le thème. 

Voici donc un exemple de cette feuille pour une notion de maths :



Bonne semaine !



jeudi 23 octobre 2014

Mes apprentissages lors des blocs 1 et 2 iClasse

Aujourd'hui, je dois faire le bilan de ma formation iClasse jusqu'à maintenant. J'ai donc choisi de vous faire la liste de tout ce que j'ai retenu durant la première moitié de ma formation. Je réalise que j'en ai appris beaucoup et je suis certaine d'en avoir oublié ! Voici ma (longue) liste :


  • Les élèves sont les principaux acteurs de leurs propres apprentissages.Ils doivent donc être actifs pour apprendre.
  • Les tâches proposées aux élèves doivent être signifiantes. Même si une tâche nécessite l'utilisation de la technologie, cela ne veut pas dire que c'est une tâche signifiante pour les élèves. Comme le dit Sébastien Deschamps, " Une activité ennuyante reste ennuyante même sur un iPad" !
  • La technologie à elle seule n'est pas suffisante. Il faut, lorsque l'on planifie une tâche, utiliser le modèle TPack et combiner la technologie avec les contenus ET la pédagogie. 
  • Il faut modifier notre façon de concevoir l'erreur. L'erreur n'est pas mauvaise en soi, au contraire. Elle est NÉCESSAIRE à l'apprentissage.
  • Le changement passe aussi par nos pratiques évaluatives. Il faut impliquer les élèves et leur demander de s'évaluer. Il faut aussi utiliser la coévaluation et l'évaluation formative plus fréquemment. L'élève doit être impliqué dans ses apprentissages et cela passe aussi par son évaluation.
  • L'organisation de la classe doit favoriser la collaboration entre les pairs et doit permettre une flexibilité pour diverses tâches. Idéalement, un coin pour enregistrer (podcast, vidéos etc.), un endroit pour travailler debout, un coin lecture, un coin pour écouter des présentations d'élèves, etc. Le pupitre de l'enseignant devient inutile puisque sa place est avec les élèves.
  • Un enseignant est un professionnel de l'éducation. Il faut donc afficher nos diplômes.
  • Le système d'éducation ne peut changer que si les gens qui y travaillent changent eux-mêmes et démontrent une volonté de changer le système.
  • Les enseignants éprouvent souvent une illusion d'incompétence face aux technologies. Cette illusion les freine dans l'intégration des TIC dans leur enseignement. Il faut montrer à ces enseignants que nous n'avons pas besoin de tout connaître sur les TIC pour les utiliser. Il faut faire confiance aux élèves et accepter que nous ne pouvons pas tout connaître et qu'ils peuvent nous apprendre des choses. 
  • Souvent nous rencontrons des élèves qui sont convaincus qu'ils ne sont pas bons. C'est la résignation apprise. Il faut travailler fort avec ces élèves pour défaire cela. De plus, dans notre travail quotidien avec eux, il faut leur montrer qu'ils ont le pouvoir entre les mains et qu'ils sont les principaux acteurs de leurs apprentissages. Ils sont tous capables de réussir !
  • Il faut favoriser une implication des élèves dans toutes les sphères de la classe, incluant la prise de décisions. Il faut favoriser l'autonomie et l'implication des élèves. 
Si je vous donne le goût du changement, inscrivez-vous à la formation iClasse ici !

Pour mon bilan complet :
   


mardi 16 septembre 2014

Rencontre de parents inversée

Jeudi dernier a eu lieu ma première rencontre de parents, style inversée. Tout est parti d'une idée folle apparue au printemps dernier lors d'une discussion avec ma CP en intégration des technologies. J'avais envie de faire vivre aux parents ce que je fais vivre aux élèves en classe afin de mieux leur expliquer et de rendre le concept moins abstrait pour eux. 

Plusieurs heures de réflexion plus tard, nous avons convenu, ma CP et moi, de créer deux vidéos, avec mes élèves 2013-2014 : la première concerne l'intégration des technologies en salle de classe de façon générale et la seconde concerne une bonne partie des outils utilisés en classe (ça m'évite de les expliquer aux parents un par un ou presque). Les parents seraient amenés à écouter les vidéos (durant la rencontre car je ne pense pas que les parents les auraient écoutées à la maison avant la rencontre) et à remplir une feuille ViréQ

D'autre part, nous voulions filmer des vidéos avec quelques élèves actuels afin de présenter aux parents le fonctionnement de la classe (nous avons choisi les parties "devoirs et leçons" et "système de gestion des comportements"). Pour cette partie, nous avons remis aux parents un document "à trous" qu'ils devaient compléter afin d'avoir toutes les informations.

J'ai commencé à préparer un Powerpoint (j'aurais préféré un Prezi, mais l'an dernier l'internet de la commission scolaire avait lâché pendant la rencontre alors j'avais un peu peur et surtout, pas accès à la version "desktop" de Prezi...) que je voulais prêter à ma collègue car nous fonctionnons de la même façon et nous travaillons en équipe lorsque nous avons décidé de faire notre rencontre de manière conjointe. 

Nous avons donc téléchargé le superbe document des Créations de Stéphanie et l'avons adapté afin de faire une section "projet techno" avec des lignes pour la partie résumé de ViQ et un espace vide pour la partie questions de ce même outil. 

Aperçu du cahier remis aux parents

Pour ajouter à la folie, nous avons décider de webdiffuser l'événement à l'aide de Google Hangout. Comme nous n'avions pas de webcam externe, ce fût difficile et nous avons dû cesser la diffusion après 15 minutes étant donné que le son des vidéos dans le Powerpoint résonnait et causait des distorsions (difficile à expliquer ici mais bref, c'était désagréable pour les gens qui écoutaient...). Nous avons appris beaucoup et nous serons meilleure l'an prochain (oui oui, on veut répéter l'expérience) ! Parallèlement, comme nous savions que la qualité de l'image ne serait pas au rendez-vous avec le Hangout, nous avons décidé de filmer l'événement pour le publier sur nos sites de classe (une autre nouveauté cette année, vous pouvez consulter le mien ici) pour les parents qui n'ont pas pu se présenter jeudi ou pour ceux qui voudraient réécouter le tout à tête reposée pour avoir toutes les informations. Une chance que ma CP et ma stagiaire étaient là. 

Finalement, nous avons demandé aux parents de remplir un court sondage Google pour mieux connaître leur environnement technologique (idée de Pierre Gagnon) et pour connaître leur opinion sur la rencontre de parents.

Nous n'avons pas encore tous les résultats du sondage, mais plusieurs parents nous ont dit de vive voix avoir apprécié la rencontre. Nous étions fatiguée, mais très fières et heureuses d'avoir réussi notre premier contact avec les parents de nos élèves.

Maintenant que cette grande étape est passée, nous pouvons nous concentrer uniquement sur nos élèves et la pédagogie ! 

dimanche 14 septembre 2014

2014-2015 : c'est parti !

Après un été de repos, me voici de retour, la tête remplie d'idées à vous partager ! Je n'ai pas eu l'occasion d'écrire depuis le début de l'année car c'est carrément la folie. Plusieurs changements dans ma pédagogie ont commencé l'an dernier, mais c'est cette année que je pourrai les vivre pleinement. En voici un aperçu :

  • Des tables au lieu des pupitres : j'en rêvais et c'est maintenant fait ! Cinq tables rectangulaires, quatre élèves par table (et oui, j'ai seulement 20 élèves) et peu de rangement. C'est présentement mon défi. J'ai acheté des porte-revues chez Ikéa, ce n'est pas l'idéal, mais avec le sac d'école sur la chaise et peu d'effets scolaires, ça fait le travail;
  • Une classe inversée repensée et une meilleure planification de maths incluant davantage de manipulation (c'est fait, je la publierai bientôt !);
  • Une rencontre de parents inversée (je publierai ma démarche et le bilan ici très bientôt);
  • Une nouvelle planification en français avec un nouveau cahier (le seul utilisé cette année et je ne le regrette pas, il me permet d'utiliser beaucoup la littérature jeunesse et de travailler par thème, ce qui est génial !);
  • Une nouvelle manière de faire de l'univers social (sans cahier) en y allant davantage par projet;
  • La suite du projet RAI (et éventuellement les cartes "interpréter");
  • L'utilisation de ChallengeU (anciennement Didacti) de manière encore plus intensive avec la version "Portail" (payante);
  • L'utilisation de cahiers interactifs en français et en maths;
  • Une tonne de projets à venir !

Finalement, plein de projets et de plaisir, tant pour les élèves que pour moi ! Je partagerai tout ça pour vous en faire bénéficier et ce, gratuitement ! 

Sur ce, je vous souhaite une belle année scolaire ! 

Geneviève